Athel Cowyn

Votre personnage :

Nom de Famille: Cowyn

Prénom: Athel

Sexe: Masculin

Âge: 32 ans, mais il parait plus vieux

Race: Celte

Affinité: Neutre plutôt à tendances maléfiques.

Désirs, ambitions:
Euh… A première vue, l’argent même si en fait il s’en moque éperdument. Disons que c’est là la motivation qu’il s’attribut. Plus profondément, il voudrait devenir le chasseur de têtes le plus craint qui soit… et mourir.

Pouvoirs:
Une aptitude mineure à maîtriser le feu. Je dis bien MINEURE. Il s’agit de pouvoir allumer une chandelle voir un feu de camp ou de maintenir une flammèche en vie au creux de sa mains mais ne vous attendez pas à ce qu’il consume un humain ou mette le feu à une forêt d’un coup.

Armes: Une épée "une main et demie" et une dague d’une vingtaine de centimètres.

Description physique:
Athel est plutôt grand, un peu plus de deux mètres, ses longues jambes expliquent cet état. Sa peau pale contraste énormément avec les vêtements sombres et usés qu’il a l’habitude de mettre. Ses mains aux doigts longs et fins sont noueuse et semble frêles. Semble, parce que sa poigne et ferme et puissante. Les vêtements amples qu’il porte ne laissent pas voir une musculature taillée par la nécessité et l’exercice.

Son visage sec et froid ne laisse rien voir de ce qu’il pense. Il a toujours un regard sombre et les cicatrices qui se dessinent sur sa peau d’albinos finissent d’enlever tout caractère sympathique de son visage. Pour en revenir à son regard, ses yeux aux iris couleur ambre on souvent fait dire qu’il ne descendait pas seulement de celtes. Quelques rumeurs prétendent que de temps en temps ses pupilles prennent l’aspect de celles d’un félin.

Pour finir, il possède la chevelure blanche d’un vieillard comme déposée sur son crâne ce qui, à cause de la pâleur de sa peau, donne l’impression que qu’il n’a pas beaucoup de cheveux.

Description morale:
Il est prompt à la colère, mais c’est une colère froide, lucide. Peu causant, il préfère la solitude et ne se rend dans les villes que pour récupérer son argent ou lorsqu’on lui a indiqué que quelqu’un avait quelque chose de lucratif et risqué à lui proposer. Son seul plaisir dans la vie est la chasse, de préférence quand elle présente des risques. Cependant il n’est pas stupide et ne courra pas de risque s’il est persuadé qu’ils n’amèneront rien.

Il ne répugne pas au meurtre ou à la violence mais il ne comprend pas les gens qui commettent des actes parfaitement gratuits. Lui le fait s’il est payé pour. Paraît-il qu’il a eut une plus haute morale quand il était jeune mais il l’a rejetée.

Histoire:
L’histoire d’Athel ne commence pas à sa naissance, car à sa naissance, rien ne le destinait à devenir un chasseur. Non, son histoire commence avec une fontaine vermeille. Une fontaine vermeille jaillissant de la gorge de son père. Celui-ci, renversé sur le dossier de sa chaise comme il l’était, semblait contempler le plafond. Si l’on oubliait les traits effrayés et la gorge ouverte.

Athel contemplait, de même que son frère, avec une fascination morbide le sang qui imbibait lentement de leur géniteur. Pendant ce temps, les trois hommes qui avaient pénétré dans la masure faisaient le tour de la table. L’un d’entre eux attrapa négligemment la sœur d’Athel par la taille et la souleva comme si elle ne pesait rien, malgré ses seize ans. Un deuxième attrapa à la fois la mère d’Athel par les cheveux et une pomme sur la table. Il dit quelque chose, mordit dans le fruit et traîna la femme sans se soucier qu’elle se débatte.

Mais le jeune garçon ne faisait que vaguement enregistrer cela, il suivait d’un œil fasciné le dernier homme qui tira négligemment la tête de son frère en arrière et l’égorgea avec la même indifférence. Le jet de sang jaillit avec force mais se tarit rapidement tandis que le corps du frère d’Athel s’affaissait imperceptiblement.

Et soudain la conscience revint à Athel, avec une acuité indésirable. On venait d’assassiner froidement son père et son frère. Et il était le prochain qui allait passer le seuil de la mort. Le jeune garçon pouvait presque sentir l’Ankou dans la pièce, attendant la dernière vie.

L’instinct de survie ancré en chacun de nous pris le dessus sur la conscience du garçon. Il renversa sa chaise en s’écartant de la table. Sa main effleura un morceau de bois qu’il attrapa en réflexe tout en finissant son mouvement. Puis il s’élança ver la porte arrière encore entrouverte. Il entendit un rire moqueur derrière lui mais continua de courir malgré le frisson qui le parcouru. La lumière du jour filtrait comme une main salvatrice mais quand il eut poussé la porte et libéré la lumière, son instinct lui criait encore qu’il n’était pas en sécurité. Absolument pas en sécurité.

Il se retourna un instant et vit sa mère qui titubait puis qui tombant, révéla un poignard, enfoncé jusqu’à la garde dans son dos. L’un des intrus agrippait le manche en bois d’un couteau de cuisine ainsi que son ventre pour empêcher que ses entrailles se répandent hors de son ventre.
L’égorgeur continuait d’avancer insensible au chaos environnant, aux cris de ses camarades et des victimes, au sang.

Athel se remis à courir. Il ne tarda pas à entendre le bruit sourd des pas de course sur la terre, derrière lui. Il entra dans l’étable et couru vers le trou, au fond qui avait permis à plusieurs de leurs bêtes de s’en aller. Il s’arrêta en tournant derrière une séparation en bois. Son père avait rebouché le trou. Il venait de se condamner en entrant dans ce bâtiment.

Devant l’absence d’échappatoire, son instinct de survie l’abandonna à une froide détermination. C’est d’une main ferme qu’il tenait le couteau dans sa main droite lorsqu’il se retourna pour faire face au brigand. Ce dernier eut un mouvement de recul et Athel en profita pour s’élancer vers la gorge du meurtrier. Le temps lui sembla ralentir et il eut tout le temps de détailler les yeux noisette, les traits durs qui bougeaient lentement, la bouche qui s’ouvrait imperceptiblement la pomme d’Adam qui remontait comme au ralentit, et le couteau s’enfonça dans la chair comme s’il s’était agit d’une viande tendre.

Le mort eut un dernier râle en s’effondrant tandis que ses yeux se voilaient. Athel frissonna. Ca n’avait pas été plus dur que d’égorger les cochons mais il se sentait... sali.

Il sortit de l’étable et s’en fut dans la forêt avant qu’un autre brigand se décide à sortir voir ce qui se passait. Il se cacha pendant longtemps dans les bois s’y enfonçant plus profondément et en ressortant loin de la masure où il avait grandi. Il n’eut jamais le courage de retourner voir ce qu’elle était devenue.

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Huit ans plus tard, en croisant une petite troupe marchande voyageant sous escorte, il proposa de ses joindre aux hommes armés. Il passa cinq années encore à escorter des caravanes à travers Erin et il en escortait encore une lorsqu’il tomba amoureux.

Elle s’appelait Elina. Elle était énergique et toujours joyeuse. Menue et petite, elle formait un contraste frappant avec Athel au niveau de l’aspect. Sa chevelure d’un roux flamboyant était aussi légère qu’une brise, ses yeux pétillaient d’un humour qu’Athel adorait.

Elle faisait parti d’une caravane qu’il escortait vers Ker-Benn. Contrairement à la plupart des autres voyageurs, elle n’appartenait à aucune association à aucune guilde et par là ne jouissait d’aucune protection. Elle avait du payer seule une part importante du prix de l’escorte. Harpiste et chanteuse, on aurait dit que ses doigts volaient entre les cordes, les effleurant à peine, et sa voix semblait bénie des dieux. Athel ne doutait pas qu’elle gagnât fort bien sa vie.

Tous les soirs, peut-être afin d’entretenir son talent, mais en tous cas au plaisir de tous, elle jouait un ou plusieurs morceaux de son répertoire. Autant de contes que de ballades.

La chose se fit doucement ; Athel n’avait jamais éprouvé ce genre d’attirance pour qui que ce soit auparavant et il se révélait timide. Timidité renforçait par la crainte que sa différence lui valle un cinglant refus.

Le voyage était rythmé par les attaques plus ou moins importants de bandes de hors-la-loi, lui laissant peu de temps. Mais ce temps, il le passait de plus en plus souvent en sa compagnie. Il riait à ses blagues et elle se mit à sortir sa harpe quand il chevauchait à côté de sa carriole et à lui chanter des chanson drôles.

Il finit par lui avouer son amour, lorsqu’il fut sur que c’était réciproque. Malgré toutes ses certitudes, ce fut un soulagement sans commune mesure lorsqu’elle lui confirma explicitement son amour.

Il savait qu’ils se sépareraient surement arrivé à la ville parce qu’il n’appréciait pas particulièrement les cité, mais les semaines qui suivirent furent les plus belles de son existence. Il passait ses soirées à écouter la jeune musicienne jouer, chanter et à perler avec elle. Il s’ouvrit plus à elle qu’à quiconque depuis son frère.

La journée il continuait de remplir ses devoirs d’escorteur, repoussant avec ses camarades les assauts des brigands. C’est lors de la plus dangereuse qu’il reçu la cicatrice qui traverse sa face gauche.

Les pillards avaient attaqué l’arrière de la caravane et Athel avait rejoint le combat avec quelques autres escorteurs de l’avant-garde. Les attaquants étaient nombreux mais les convoyeurs n’eurent pas vraiment de mal à les contenir. Et puis soudain, il en surgit de partout. Les rangs des attaquants doublèrent puis triplèrent.

Athel frissonna d’appréhension tout en fouettant l’air autour de sa monture avec sa longue lame. Un lance traversa méchamment l’encolure de son destrier et vint titiller le bas ventre du cavalier, lui dessinant une fine cicatrice. L’animal se coucha sur le côté et Athel parvint par miracle à se retrouver sur ses pieds alors que la bête s’étalait sur son flanc.

Au milieu du vacarme des armes qui submergeait ses oreilles, il entendit un cri d’alarme : Des marchands étaient de mèche avec les bandits. Pris d’un instant de panique pour Elina, il faillit se retourner pour se précipiter vers les chariots.

Une lame qui s’abattait vers lui le ramena à des considérations plus personnelles. Il ne ferait rien une fois enterré. Il eut tout juste le temps de se jeter en arrière en déviant l’arme. Il sentit la pointe mordre son visage et aussitôt son œil se couvrit de sang. Il éventra son ennemi d’un geste qui tenait plus de l’habitude que de la volonté. Il continua de se battre malgré son œil aveuglé. Il ne l’avait pas perdu, il s’agissait simplement du sang qui s’écoulait d’une blessure à priori superficielle au visage. Cela saignait toujours abondamment.

Il s’en sortit, évidemment puisque je vous conte son histoire, mais le plus incroyable c’est qu’il n’avait reçu que des blessures bénignes. Le convoi fut épuré et les bandits repoussés ou tués. Un peu plus tard, ayant récupérée une monture, il chevauchait derrière le chariot d’Elina. Elle avait tué un faux marchand qui l’avait attaquée.

Athel lui déclara qu’il avait décidé de la suivre même en ville si elle le voulait. Il s’était rendu compte durant la bataille à quel point il tenait à elle.

« C’est bien, répondit-elle. Je… désolée… »

Elle avait à peine soufflé les deux dernier mots et elle s’affaissait sur elle-même. Saisit, Athel bondit dans le chariot et la rattrapa. Sa main s’enfonça dans quelque chose de visqueux. Il la retira rouge.

« T’aimes » entendit-il encore avant que le corps de la jeune femme se raidisse dans la mort. Le guerrier cria sa rage et sa frustration au ciel. Rendu à moitié fou par la perte de l’être qu’il avait de plus précieux au monde, il descendit du chariot avec le corps inerte dans ses bras et s’éloigna de la caravane.

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C’est à trente ans qu’il reparu. Deux ans plus tard, on le surnommait "dernière lune" et il était devenu un assassin. Un homme vivant pour la chasse à l’homme pour peu qu’il y ait un risque dans celle-ci.


Famille: Ils sont tous morts sauf peut-être sa sœur même si lui est persuadé de la mort de cette dernière.

Autres: Si quelqu’un veut que je lui fasse l’histoire de la sœur d’Athel, y a qu’à demander.



Comment jugez-vous votre niveau RPG? Moyen mais surtout un maque de pratique.

Questions/Remarques? None

Code: [Validé par Alena]

Bienvenue Athel !

Le code est bon et donc validé. Les descriptions physique et morale me semblent très bien, par contre j'avoue ne pas avoir le courage de lire l'histoire ce soir… ;)

Enfin, ta fiche semble parfaite, il manque juste un avatar (ou si tu en as un, je ne le vois pas perso…). Si tu n'as pas d'avatar, il est indispensable que tu en mettes un pour être validé et pouvoir ainsi accéder au RP ;)

Bon amusement sur le forum,
n'hésite pas à demander, si tu as besoin d'aide.

Youps... Un petit oubli de ma part.


J'ai pas encore eu trop le temps de la travailler mais bon.

J'ai l'honneur de t'annoncer que tu es le deuxième personnage plus vieux du forum, il me semble =3

Bref, bienvenue, et amuse toi bien ^w^/°

Bienvenue sur Erin!
Excellente fiche, j'aime beaucoup ton style de narration, c'est très plaisant à lire. Pour la soeur si tu veux, tu peux écrire son histoire et en faire un "Personnage à Prendre" pour les membres qui n'ont pas d'idées xD Je t'ajoute à ton groupe et te souhaite un bon RP parmi nous! =D

tu oublis les tasmants ^^" on est super vieux nous :p ><

Surtout Aisly, qui est la plus vieille du fofo, Entités mises à part :)
(Ben oui, c'est quand même la toute première tasmante )

Bref, sinon bienvenue sur Erin, merci d'avoir cliqué sur le bouton inscrire, je t'en suis très reconnaissante. Amuse toi bien !

Mais Aisly est la mieux conservée =3 rrrrr! (Kirin parle, sinon elle va avoir peur ><)

Et puis les tasmants, niveau vieillesse, c'est de la triche! ><'

Que dire d'autre ? XD

Nan, pas de la triche ! Ce qui compte, c'est l'expérience (remarque à ne prendre que dans un certain contexte ...)

Si l'Ankou avait cueillies vos âmes, vous n'auriez pas autant d'expérience! *siffle*

Vous êtes donc des tricheurs ><'

Non, des malins qui échappons perpetuellement au vieux tas d'os :p

Bref,